Interview Corentin Amio : "Travailler dur pour atteindre ses objectifs et faire ce qu'on souhaite vraiment."

Corentin Amio : Je dirais que c'est un autre moyen de communication qui permettrait à l’artiste de s’épanouir, et donc peut-être, pour certains, de pouvoir enfin s’exprimer à travers leur passion. Elle m'accompagne depuis que je suis né.

Corentin Amio : J'ai tout de suite su que je voulais aller dans ce monde-là, malgré, parfois, le grand désarroi de mes parents. Mais malgré tout, ils ont toujours su m'accompagner et me permettre de réaliser ce que je voulais vraiment faire.

Corentin Amio : Il n'y en a pas qu'un seul, il y en a pas mal parce que j'ai été bercé par plein d'artistes. Jean-Jacques Goldman, Mylène Farmer, Patrick Bruel, France Gall, Michel Berger, Madonna, Michael Jackson… Et c'est ce beau mélange qui fait ce que je suis maintenant !

Corentin Amio : On n'a pas forcément le même regard qu'on avait quand on était enfant. Même s'il est décédé, je dirais qu'il y en a un qui anime beaucoup ce que je suis : c'est Grégory Lemarchal, parce qu'il avait un talent fou, un grand cœur et une force mentale incroyable. Malgré sa maladie, il surpassait tout cela et ça lui permettait d'accomplir son rêve, quoi qu'il en coûtât.

Corentin Amio : Ce serait Grégory Lemarchal, mais sinon Édith Piaf et Jacques Brel. Après, j'aime beaucoup Coldplay et U2, qui amènent une énergie folle sur scène, donc j'aimerais beaucoup aller les voir !

Corentin Amio : Celui de Mylène Farmer en 2013. Je crois que ça s'appelait Timeless ! Elle avait une scénographie de dingue, ça m'avait vraiment bluffé !

Corentin Amio : Le Roi Lion, je suis allé le voir deux fois au Mogador et à chaque fois je retombe en enfance, ça me rappelle de bons souvenirs. 

Corentin Amio : C'est From Now On de The Greatest Showman. Elle me parle beaucoup parce que dans l'histoire, c'est un moment où il n'avait plus trop le moral, mais qu'il peut compter sur les personnes en qui il a toujours cru pour revenir sur le devant de la scène et retrouver ce qu'il faisait déjà très bien. 

Corentin Amio : Moulin Rouge ! J'aime beaucoup le rôle que joue Ewan McGregor dans le film et cet amour qu'il a envers Satine. Les émotions qu'il a à travers son personnage me parlent beaucoup. 

Corentin Amio : En tant qu'artiste, je rêverais de pouvoir chanter et jouer dans un Music Hall de Disney. En tant que professeur, ce serait de toujours chercher le bon outil qui permet à un.e chanteur.se d'utiliser son instrument sereinement, et de toujours être à la recherche de nouveautés permettant de se faire plaisir sans forcer.

Corentin Amio : Disney ça a animé toute mon enfance et en fait, les morales des histoires sont tellement bienveillantes et importantes pour la vie d'un enfant pour qu'il puisse se construire. Moi, en tout cas, ça m'a vraiment permis de me construire en l'adulte que je suis.

Corentin Amio : Ce serait d'avoir pu, à moindre échelle certes, participer à une comédie musicale locale et incarner au mieux mon personnage.

Corentin Amio : J'aurais aimé apprendre à jouer du piano beaucoup plus tôt ! J'ai commencé en 2019, et il est vrai qu'on apprend mieux lorsqu'on est enfant. Ce serait mon seul regret, sinon je ne changerais ma vie pour rien au monde. Je me dis qu'il n'est jamais trop tard pour apprendre !

Corentin Amio : Toujours croire en ses rêves ! Travailler dur, toujours avec plaisir bien sûr, pour atteindre ses objectifs et faire ce qu'on souhaite vraiment.

Corentin Amio : ​J'en ai trois ! Ce monde qui est le mien d'Hercule, Millésime de Pascal Obispo, et The time of my life de Dirty Dancing.​

Si tu étais…

Un style de danse : Le moderne jazz,

Un instrument : Le piano, 

Un Disney : Frères des Ours,

Une chanson de Disney : Le monde qui est le mien - Hercule, 

Une comédie musicale française : Notre-Dame-De-Paris,

Une comédie musicale : Moulin rouge, 

Une chanson : Toujours debout - Emmanuel Moire, 

Un film : The Truman Show,

Un personnage de film : Gandalf (le Seigneur des Anneaux),

Un clip : Viva la vida - Coldplay,

Une série : Friends,

Une pièce de théâtre : Espèces Menacées de Ray Cooney,

Une parole de chanson : "Il n'y a qu'un pas à faire pour trouver, quoi qu'on se dise, le courage pour se défaire de la peur qui paralyse".